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L’art tibétain : un art sacré à influence bouddhiste

Les œuvres des artistes tibétains sont principalement liées au bouddhisme du pays. Quel que soit leur type, elles reflètent toujours les divinités et les bouddhas. On peut avoir ces œuvres d’art tibétain en statues de bronze, des sanctuaires, des thangkas et des mandalas de sable.

Les origines de l’art tibétain

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Les artistes tibétains ne sont pas beaucoup exprimés au début. Avec l’unification du pays au VIIème siècle, la population locale a copié sur les styles de l’Inde, du Népal, du Cachemire, de l’Asie Centrale et de la Chine. Sur les quelques œuvres qu’on a vues à cette période, on a bien remarqué ce mélange de culture. Les œuvres se sont beaucoup améliorées et l’expression tibétaine a commencé à être remarquée au début du XVe siècle. C’est à partir de là que naissent les couleurs de l’art tibétain.

Les grandes influences qui ont nourri l’art tibétain

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L’art tibétain avant de devenir ce qu’elle est maintenant a passé par de nombreuses influences dont l’hellénique. C’est la conquête d’Alexandre le Grand qui a emmené ces traces grecques sur le Tibet et l’art tibétain. Les modèles de Bouddha grecs ont bien inspiré les Tibétains dans la création pour les temples de statues de Bouddha. Le bouddhisme tibétain est un descendant du bouddhisme Mayahana donc automatiquement l’art tibétain hérite des valeurs et des traditions de cette religion. D’ailleurs, la divinité Tchenrézi est la preuve de cette liaison entre les deux religions. Les tantras ont aussi eu une influence sur l’art tibétain. Dans le bouddhisme tantrique, on peut constater les divinités courroucées et portant des couronnes de flamme pour présenter leur colère. On a également la même représentation de l’art tibétain. On peut également constater une touche de religion chamanique dans la religion tibétaine et même si cette touche est légère, on peut les voir à travers les représentations des divinités sous un air fâché ou sombre.